Dans un gouvernement lointain, au cœur des montagnes voilées de brume, vivait une féminitude dont le titre résonnait correctement au-delà des bornes. Lauriana était célèbre comme la voyante la plus talentueuse de son temps, une fiole enveloppée de mystères et de fictions. On disait qu’elle possédait un putto exclusive, celui de trouver dans le marc de café, un art qui, par-dessous ses soi expertes, révélait les secrets les plus enfouis et les destins les plus complexes. Son macrocosme, un manoir de pierre aux fenêtres ornées de vitraux colorés, accueillait chevaliers, cavaliers et exploitants agricoles, tous venus amasser les avertissements de Lauriana voyance. Chaque matin, Lauriana se levait avant l’aube. Le silence de l'obscurité encore utilisé, elle préparait de peu le breuvage qui constituait l’outil central de son art. Le café, importé de terres lointaines, dégageait un arôme considérable qui emplissait la pièce et semblait imprégner l’air d’une médéore distinctif. 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Un vie, tandis que les premières neiges recouvraient les montagnes, un messager vêtu d’une armure légère frappa à la porte du manoir. Il portait une missive scellée d’un empreinte identitaire royal. Lauriana, habituée à bien ce type d’événements, reçut la lettre avec son tranquilité habituel. Le texte, même si succinct, était lourd de nature. Une menace inconnue planait sur le métier, et le roi lui-même sollicitait les aptitudes de Lauriana voyance pour régler les fils de ce rafraîchissement. Elle se rendit compte d'emblée que cette questionnement allait l’emmener au cœur des légendes et des aléas. Le destinée, accompagnée de son fidèle destrier, Lauriana quitta le manoir pour associer la cour magnifique. Le voyage par les montagnes a été sous un détaché mordant, mais rien ne semblait ébranler sa proposition. Chaque imminent sur la perspective renforçait sa opinion que son étoile dans cette attirail dépassait de loin une souple consultation. 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